Le succès ne connait ni un raccourci ni de la chance, c’est le fruit d’un labeur de longue haleine. Avec son dernier titre en date, Chaarlity en fait une piqure de rappel. Produit par Constas Beatz, ce single constitue une musique envoutante et enivrante, mais aussi une philosophie très inspirante. Son titre : “ATA”. Parfait tissage entre le français et le mina, le morceau se veut porteur d’espoir, de bonheur et surtout de courage. Il constitue une ode à la persévérance, à la force intérieure et à l’importance de poursuivre ses rêves en dépit de tout obstacle.
« T’as pas encore réussi, ça ne veut pas dire que tu as échoué »
Chaque parcours est unique et les chemins du succès ne sont pas identiques pour tous les profils. Tandis que certains réussiront en devenant des influenceurs sur le web, d’autres le feront en perçant dans le sport, et d’autres encore en s’accrochant aux études. En bref, chaque expérience est unique. Il est dès lors essentiel de rappeler que chacun a son rythme ; chacun a sa vitesse comme dirait l’autre. C’est dans cette logique que s’inscrit “ATA”.
« Le succès de tes amis ne fait pas de toi un raté »
‘’ATA’’ n’est pas qu’une chanson construite pour donner de l’énergie. C’est également un rappel pour éviter de se laisser décourager au regard du succès de l’entourage. Loin de constituer une ombre sur notre propre succès, la réussite des autres doit être une source d’inspiration et de motivation pour atteindre les objectifs que l’on se fixe.
Par ces paroles, Chaarlity appelle à développer de l’endurance, de la résilience et de la détermination. Il n’y a que le succès de chacun qui puisse servir de réponse aux personnes qui soit portent l’oeil soit se montrent décourageantes. C’est comme si le mot d’ordre était celui-ci : « travaille en silence, et laisse ta réussite faire du bruit ».
Pour passer le message, l’artiste choisit de faire une combinaison entre le mina et le français. Cela offre une coloration et une expérience musicale riche et variée correspondant à la diversité culturelle meublant la musique de Chaarlity.
Rédaction: Ariel Mittag
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